Master Sociolinguistique et Didactique des langues

FLE/S, sociolinguistique, didactique des langues, francophonie : les formations de Master

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Master Recherche


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MENTION Formation et diversité : langues, éducation, francophonies

En convention avec les Universités de
Limoges et Poitiers et des Universités du Maine et d’Angers

Information liminaire des étudiants en master :

Il semble important à l’équipe encadrante de cette formation de signaler aux étudiants qu’ils doivent être attentifs au fait que, désormais, les différents masters proposés en France ne constituent plus des formations homogènes et identiques, garanties par un cadre national de diplômes. Chaque université, chaque formation, chaque équipe formative peut affirmer des spécificités (type de compétences, relations internationales, problématiques spécifiques, approches originales, pratiques formatives…).
Il est donc conseillé aux étudiants de s’informer largement sur les formations proposées dans un même champ, et d’opérer leur choix en fonction des paramètres qui leur semblent importants, tant matériels (choix d’une région, d’une ville, possibilités de logement, etc.) que ceux plus spécifiquement liés à la qualité de formation qu’ils souhaitent, aux orientations scientifiques, méthodologiques, thématiques, etc., en rapport avec les débouchés envisagés.

Enfin, la réforme des masters facilite la mobilité des étudiants entre le M1 et le M2. Selon leurs projets d’insertion professionnelle, ceux-ci peuvent souhaiter allier les compétences acquises dans deux formations différentes.

Conseils aux étudiants de M2 :

Il vaut mieux préparer une formation en M2 à l’avance.
Dans la mesure où l’année de M2R se déroule de septembre à septembre en 12 mois, dont les premiers six mois sont intenses en séminaires, il est conseillé aux étudiants de prendre contact avec les encadrants potentiels dès que leur projet commence à se profiler. Cela afin qu’une partie du travail d’élaboration du sujet de recherche, de bibliographie puisse être défriché en mai-juin de l’année précédant le M2, avec, selon possibilités, des lectures préparatoires l’été.

Caractéristiques de cette formation :

Une exigence progressive de professionnalisation s’organisant entre le Master 1 et le master 2 :
L’équipe formative de cette spécialité a délibérément opté pour un master organisé de la façon suivante :
Master 1, spécialité recherche DLC :
Les étudiants se destinant à la recherche partagent avec les étudiants de master professionnel une majorité de cours, avec quelques cours plus orientés « recherche », concernant d’une part les modalités de travail de terrain et d’autre part les problèmes d’épistémologie / méthodologie qui sont plus saillants pour eux. Ils amorcent ainsi le passage en M2 recherche, où cette dimension est plus fortement affirmée.
L’avantage de ce dispositif est qu’ils ont une formation « large » qui facilite leur réorientation en Master « Pro » en M2, au cas où ils changeraient d’avis en cours d’année.
L’équipe formative de ce diplôme estime en effet qu’il est souhaitable de s’orienter vers la recherche progressivement, et en connaissance de cause, après une information qui s’acquiert notamment au fil de la première année de master (rencontre avec les encadrants de M2 et de doctorat, discussion / élaboration d’un projet, etc.).
Il faut, à cet égard, rappeler les orientations ministérielles récentes, qui vont dans le sens de ce qui a toujours été une constante de ce master, à savoir un partage d’enseignements entre les dimensions « recherche » et « professionnelle ».
En master 2 en revanche, la spécificité recherche s’affirme clairement et l’orientation vers une thèse est préparée par les séminaires.

La réglementation officielle préconise que le passage des étudiants entre les spécialités professionnelles et recherche soit facilité (il est donc envisageable de s’inscrire en doctorat après un master professionnel, après accord de l’école doctorale), ce qui est facilité par l’organisation dite en « T » de cette mention (la tronc du « T » en M1 est partagé, la spécialisation intervenant seulement dans les branches du « T »,en M2..

Dispositif institutionnel : 6 universités engagées
Cette spécialité réunit les compétences de six universités différentes afin d’assurer un enseignement transdisciplinaire original et de qualité. Ainsi, des sociolinguistes, éducationnistes, francophonistes, didactologues participent-ils à cette formation en dispensant des enseignements organisés de manière cohérente et complémentaire, et en articulant les interventions de nombre de chercheurs de premier plan.

Structure organisationnelle : 2 troncs communs riches en rencontres et échanges
Cette formation, pour tirer profit de la mise en synergie des universités qui y participent, comporte deux troncs communs (une semaine à temps plein pour chacun) réunissant, le premier, les étudiants et enseignants des universités de Tours, Poitiers, Limoges, pour le second, les étudiants de Tours, du Mans et d’Angers. Ces troncs communs se font soit en présentiel, soit par visio-conférence.

Des thématique et approches plurielles et cohérentes :
L’intérêt de ce dispositif est de proposer aux étudiants un plateau de thématiques riches, variées, et cohérentes.
La cohérence des différentes interventions est assurée par le thème de la diversité, et des interrogations que suscite cette problématique.
La richesse des interventions est assurée par :
Les champs disciplinaires couverts : didactologie, littératures francophones, linguistique, sociolinguistique, francophonie, sciences de l’éducation.
Les approches : tant qualitatives que quantitatives, portant sur l’oral (approches par le biais d’étude d’interactions) et l’écrit, avec une forte composante épistémologique dans certains cas, et une prise en compte de la réflexivité.
Un parti-pris : aborder les problèmes linguistiques, culturels, didactiques, prioritairement par le biais de la variation, de la diversité, de la contextualisation, de l’historicisation, en s’interrogeant sur les fonctions de ces caractéristiques des langues et cultures.

Une originalité : La prise en compte de la diversité et de l’altérité
Par rapport à nombre de formations assez proches, qui considèrent que la prise en compte de la diversité et de l’altérité peut se faire dans le cadre d’épistémologies et de méthodologies classiques, cette formation tente de réfléchir aux bouleversements que la diversité peut entraîner dans la façon de concevoir la recherche.

Un encadrement engagé au sein d’une équipe expérimentée et vivante :
A l’Université François Rabelais de Tours (ainsi qu’à Limoges et Poitiers) l’encadrement des étudiants de Master 2 Recherche est assuré par l’équipe de recherche DYNADIV [http://dynadiv.univ-tours.fr//]. Cette équipe a été labellisée « Jeune équipe » pendant le quadriennal 2003 – 2007, et elle a obtenu le label d’ »Equipe d’accueil » à partir du 1er janvier 2008.
Cette équipe a pour tradition un encadrement engagé au sein d’un laboratoire qui sert véritablement de lieu de formation professionnelle. Les étudiants et doctorants y participent pleinement aux prises de décision scientifiques, politiques, financières, au sein de Conseils de sites (Limoges, Tours) et du Conseil de laboratoire de l’équipe. Ils ont l’occasion de participer aux travaux de l’équipe (réunions de laboratoire, colloques, programmes de recherche).
DYNADIV organise des journées d’études annuelles, qui sont une occasion de rencontres et d’échanges entre chercheurs des trois universités partenaires au sein de l’équipe DYNADIV.

DYNADIV propose aux étudiants un environnement stimulant, des encadrants chevronnés, des pratiques de recherche sans cesse questionnées, des approches originales.

Un cadre accueillant : Une université à taille humaine :
La spécialité recherche FORDIV s’organise au sein d’une université de taille moyenne, qui évite les inconvénients du gigantisme et de l’anonymat tout en assurant (dispositif institutionnel ci-dessous) un suivi attentif, et la richesse de la formation par un dispositif interuniversitaire souple.
La ville de Tours et son UFR de Lettres, en plein centre-ville de Tours, constituent des cadres stimulants et agréables à proximité de sites naturels et culturels prestigieux (vallée de la Loire, Paris).

Compétences visées par la formation :

A la fin de la formation, les étudiants sauront :
Décrire : établir un rapport faisant l’état des lieux d’une situation où la diversité linguistique ou formative est saillante. Cela implique d’être capable d’identifier et de mettre en relation des sources diversement situées, d’en tirer des éléments pertinents pour l’analyse et les organiser ;

Analyser des situations caractérisées par des enjeux en termes de diversité linguistique, culturelle et formative

Construire une problématique de recherche portant sur ces questions, en privilégiant une articulation forte entre les dynamiques de terrain et les concepts fondamentaux en sciences de l’éducation, didactologie des langues et en sociolinguistique ; rédiger des travaux de recherche (mémoire, articles) développant leur problématique et débouchant sur un projet de recherche plus large pour leur thèse de doctorat. (spécialité recherche)

Préparer, mûrir une forme rédigée de leur travail, et la soutenir oralement.


Débouchés professionnels :

La suite logique d’une spécialité recherche de master est la poursuite de recherches sous la forme d’une thèse de doctorat.
Toutefois, compte tenu de l’articulation forte entre la spécialité recherche et la spécialité professionnelle (nombreux enseignements communs), les étudiants des deux spécialités qui ne souhaitent pas poursuivre au-delà du master peuvent trouver des débouchés dans différents domaines liés à la diversité linguistique et à l’appropriation des langues.

Descriptifs des UE spécifiques de M1R
(cf. Master 1 professionnel pour le reste de la formation) :


EC 2.03 : Initiation à l’observation et à l’enquête : 12 h
Connaître le terrain suppose se donner des moyens de produire des données empiriques afin de les étudier par la suite. Cet enseignement réfléchira à ce que cela signifie « produire des données », à la part qu’y prend celui qui les recueille, à l’importance de la contextualisation de ces données dans leur signification, aux limites de l’interprétation, etc.

Compétences : Savoir concevoir une observation, enquête ou un recueil de corpus.


EC 6.02 : Epistémologie : 20 heures
On fera un bref rappel historique des grands débats dans le champ des méthodes et de l’épistémologie, pour passer en revue les grandes options en la matière, et réfléchir à l’adéquation entre ces choix et le type de terrain, de données envisagé.
Pour M1S7, voir descriptif complémentaire dans la seconde spécialité.

Compétences : Etre informé des grandes questions méthodologiques et épistémologiques dans le champ.

Descriptifs des UE de M2R :

UE 1 : Enseignements transversaux : 31 h
Faire un panorama de l’ensemble des problématiques, thématiques, méthodologies, problèmes en rapport avec les questions de diversité et de formation.

Compétences :
Maîtriser les rudiments d’un champ d’activité professionnelle et de recherche professionnelle.

EC 1.1 : Aspects de la diversité : 6 heures
Cet enseignement vise à la fois à mettre en relief les différents critères qui structurent la diversité dans trois domaines clés (1.1.1 Langues, 1.1.2 Littératures francophones, 1.1.3 Education-Formation), et les stratégies pour faire des atouts de ces différences (réflexivité, altérité).
Le contenu de cet enseignement sera approfondi, dans les différentes mentions du master, dans les troncs communs et autres enseignements.

Compétences :
Savoir construire un cadre méthodologique de base pour sa recherche ou son projet professionnel, en identifiant des objectifs professionnels, puis en réunissant des problématiques, des méthodologies, des outils adéquats.


EC 1.02R :Chercheur : un métier ?: 5 heures
Paysage des institutions d’enseignement supérieur et de recherche en France, comparaison éventuelle avec d’autres systèmes européens ou étrangers, en prenant des exemples d’organigrammes institutionnels réels (PRES, Université, UFR, Départements, Ecoles doctorales, équipes d’accueil, équipes de recherche…), et en montrant le fonctionnement, le financement de ces instances.
On s’intéressera aux modes de recrutement, aux différents statuts, on informera sur les traitements, obligations et charges d’un chercheur / enseignant-chercheur. On abordera la question du rapport entre sujet de thèse et possibilités d’emploi. On pourra faire appel à des témoignages de chercheurs et d’enseignants-chercheurs débutant / chevronnés, et amorcer une discussion autour de ces questions. On évoquera les possibilités de financement de la thèse.

Compétences :
Connaître les différents statuts du travail dans son champ professionne, les responsabilités, tâches, missions, obligations,fonctions, l’évolution des carrières

EC 1.03R: Préparation d’un projet de recherche : 3 h
Les éléments d’un projet de recherche. La pertinence de celui-ci.
Modalités de lien du projet de recherche avec la thèse. Exemples de mémoires et de thèses.

Compétences :
Maîtriser les premiers éléments nécessaire à donner l’impulsion à une recherche.


EC 1.04 : Expérience et discursivité : langues, éducation / formation : 5 h
Cet enseignement vise à donner les premiers éléments du lien entre construction de l’expérience et activité discursive. Beaucoup d’approches de terrain de recherche ou professionnel visent en effet à favoriser la verbalisation de l’expérience, qui se construit en contexte, partiellement par le discours, dans une relation d’altérité (notamment : histoires de vie, biographies linguistiques, biographies professionnelles, entretiens divers, discours dans le cadre du processus de VAE…).

Compétences :
Envisager les liens étroits entre construction de l’expérience et construction discursive.

EC 1.05 : Formation et réseaux numériques : diversité des contextes pratiques, modèles. 3 h.
Il s’agit d’une initiation à la problématique de la mise en œuvre des réseaux numériques dans le cadre de formations de toute nature.

Compétences :
Maîtriser les principes rudimentaires de la mise en œuvre de réseaux numériques dans la formation.


EC 1.06R : Le chercheur réflexif, l’altérité et la diversité : 3 heures
Montrer comment la recherche peut se décrire comme récit de l’expérience de l’altérité éprouvée au contact de l’autre, de ses discours, écrits littéraires, modes de connaissance, et comment ce récit d’expérience se construit de manière réflexive, notamment par le biais du discours

Compétences :
Maîtriser les rudiments de la pratique réflexive.


EC 1.07 : ouverture disciplinaire 1 : 3 heures
Un intervenant extérieur 1 sera invité pour présenter un point de vue ouvrant la formation des étudiants sur des problématiques complémentaires à celles proposées par les enseignants de la formation

Compétences :
Intégrer à des pratiques disciplinaires familières, l’altérité des pratiques d’une autre discipline.


EC 1.8 : Elaboration de projet : 3 heures
Présentation / discussion / élaboration collective des projets de recherche ou des projets professionnels et de stage dans des groupes animés par un EC.

Compétences :
Présenter un projet de manière synthétique, discuter de projets inconnus a priori, faire évoluer son projet par le biais d’un travail d’équipe.

UE 2 : Bâtir un projet de recherche : 40 heures
Faisant suite à l’UE 1 du tronc commun Cadre général de la recherche, l’étudiant trouvera dans l’UE 2 Bâtir un projet de recherche des ressources pour poser les bases de son projet : Dans quel cadre épistémologique l’insérer ? Dans quel cadre méthodologique ? Quelles sont les conséquences de ces choix initiaux ?
Compétences :
Situer les enjeux épistémologiques et méthodologiques d’un cadre de recherche

EC 2.1. : Epistémologies : 15 heures
Un panorama historique des courants épistémologiques sera rapidement parcouru pour se focaliser sur les questions pertinentes pour une recherche, soit dans un cadre plutôt « positif » ou « expérimental », soit plutôt « réflexif » et « qualitatif ».
Compétences :
Repérer, problématiser des enjeux épistémologiques en regard d’un projet de recherche.

EC 2.2. : Méthodologies : 15 heures
En continuité avec l’EC 2.1., les méthodologies le plus utilisées dans les champs couverts par ce master seront présentées : histoires de vie, entretiens, approches interactionnistes, etc.
Compétences :
Se repérer parmi le grands courants méthodologiques, y situer sa propre recherche

EC 2.3. : Ateliers recherche : 10 heures.
Cet enseignement répartira les étudiants en ateliers présidés par un enseignant-chercheur de la formation. Chaque étudiant y présentera au groupe-atelier, suite aux travaux effectués en EC 2.1. et 2.2., une fiche présentant les grandes lignes de sa recherche. Chaque projet évoluera en conséquence des discussions, critiques formulées, et sera présenté par un rapporteur au cours d’une séance de synthèse.
En fonction du nombre d’étudiants inscrits et d’ateliers, et des thématiques des travaux envisagés, on pourra organiser une partie du temps de cet EC pour une intervention dont le contenu est particulièrement pertinent pour les étudiants.

Compétences :
Maîtriser les modalités de la présentation de projet, à l’oral comme à l’écrit. Maîtriser les modalités du débat, de la critique scientifiques constructifs et dynamisants.

EC 3. : Politiques linguistiques : 24 h
La question des politiques linguistiques, souvent liées aux politiques éducatives seront abordées dans cette EC : grandes étapes de la mise en place d'une politique, grandes notions articulant la réflexion, quelques exemples d’interventions dans ce domaine, etc.

Compétences :
Comprendre le rapport entre des politiques linguistiques et souvent éducatives à un niveau très général, et des actions de terrain à échelle beaucoup plus réduite.

EC 4. : Séminaires de recherche I : 16 h
Les étudiants sont tenus de participer aux séminaires de recherche de l’équipe d’accueil, d’y contribuer en présentant leurs travaux.
Compétences :
Acquérir des facultés de présentation orale (respect de l’horaire, clarté, préparation de documents, d’exempliers…), de débat collectif.

EC 4. : Séminaires de recherche 1 : 16 h
Les étudiants sont tenus de participer aux séminaires de recherche de l’équipe d’accueil, d’y participer en présentant leurs travaux.

Compétences :
Acquérir des habitudes de travail en équipe : présentation de travaux, critique constructive, échange d’informations.

EC 5. : UE à choix dans le M2Pro
L’assiduité à des séminaires du M2P est exigée des étudiants.

Compétences :
celles des UE suivies.

EC 6. : Bilan d’étape du mémoire de recherche
En début d’année une séance réunira les directeurs de recherche du M2R et les étudiants concernés, pour fixer des échéances et des objectifs à atteindre en fin de semestre, à une date précisée. Ces objectifs concerneront notamment, et au choix : la présentation d’un plan détaillé, l’établissement d’une bibliographie des travaux « incontournables », la rédaction d’une partie du mémoire final.

Compétences :
Planifier un travail de recherche dans le temps, réaliser des objectifs à échéances fixes.

EC 7. : Séminaires de recherche II : 16 h
Les étudiants sont tenus de participer aux séminaires de recherche de l’équipe d’accueil, d’y participer en présentant leurs travaux.

Compétences :
Acquérir des habitudes de travail en équipe : présentation de travaux, critique constructive, échange d’informations.

EC 8. : Pratiques de la recherche
En complément de l’UE 6, apprendre des pratiques concrètes de la recherche : organisation de journées d’études, critique de manuscrits provisoires, etc.

Compétences :
Maîtriser les techniques pratiques de la recherche.

EC 9. : Présentation d’un manuscrit provisoire intégral
A une date fixée et rendue officielle, les étudiants devront soumettre à leur directeur de recherche un manuscrit complet quoique provisoire de leur travail de recherche. Les directeurs de recherche auront préparé avec les intéressés un calendrier rendant possible la réalisation de cet objectif.

Compétences :
Planifier un travail de recherche dans le temps, et respecter une échéance impérative.

EC 10. : Présentation écrite et orale du mémoire de recherche
A une date fixée et rendue officielle, les étudiants devront soumettre à leur directeur de recherche le manuscrit complet et définitif de leur travail de recherche. Les directeurs de recherche auront préparé avec les intéressés un calendrier rendant possible la réalisation de cet objectif.
Ce travail sera soutenu publiquement devant un jury, exercice qui sera préparé avec l’équipe encadrante, notamment dans les EC 4 et 7, durant toute l’année.

Compétences :
Préparer un rapport de recherche selon les règles de méthode et de présentation en vigueur dans la discipline, présenter un travail écrit correctement rédigé, dans une langue conforme aux exigences universitaires, préparer une soutenance et passer cette épreuve avec succès.